Communiqué
Soudain alors qu’il rouvre agrandi, le musée de Roubaix fait silence sur l’argument n°1 de cet étalage - la reconstitution à grands frais de l’atelier du sinistre Henri Bouchard, le grand investi des associations collaborationnistes et échangistes d’artistes nazis allemands – exit la com Bouchard pourtant sculpteur remarquablement inintéressant. Cet homme coauteur d’un monument grandiloquent à Boufarik (25 mètres par 6) « au génie colonisateur français » - c’était écrit dessus.
Heureusement que le peuple algérien, qui a du goût, dès l’indépendance acquise, détruisit avec beaucoup de soin ce mal blanc, cette tâche à son paysage.
Bref, on ne parle déjà plus de ce sculpteur ordinaire, dans ce musée sans intérêt, si ce n’est que d’être une triste visite ethnologique d’une bourgeoisie locale apparemment arriérée culturelle si l’on s’en tient à cette collection.
Musée de l’esbroufe, résultat de l’idéologie mittérandienne de « la réussite à bien rater ».
Chez Rita
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Un sculpteur hitlérien débarque à Roubaix
Comment célébrer un artiste pro-nazi en toute discrétion ?
Voilà le défi du Musée de La Piscine et de la ville de Roubaix qui s’apprêtent à inaugurer
la reconstitution de l’atelier d’Henri Bouchard le 20 octobre 2018 dans sa toute nouvelle extension.
Sculpteur Vichyste officiel, militant de la politique culturelle du Reich, il se proposait « d’assainir les Beaux-arts » contre le complot d’une « organisation occulte et internationale de marchands ».
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